Les
grands esprits se rencontrent.
偉い人の考えことは同じだ
二人の人が同じことを考えた時に冗談で言う
avoir un bon niveau / un mauvais niveau
avoir un excellent niveau / un niveau médiocre
/ un niveau moyen / un niveau faible.
la population d’origine immigrée
une photo numérique / une photo argentique
le négatif
tirer une photo
un agrandissement
Transcription de l'interview de Depardon
Très vite, je me suis aperçu que
les boutiques, c’était quelque chose qui était comme un manifeste. Soit elles
disparaissaient. Soit elles survivaient. Et donc tout ça...
Il y a beaucoup de couleurs. La
France est très colorée, quoi... plus que les villes, plus que Paris. Ça, c’est
certain. Assez fortes, assez denses. Alors, les gens, ils me disent :
« Ah oui, mais ça, ce n’est pas possible. C’est des couleurs que tu as
inventées. Ben voilà. » Pas du tout, moi, je n’ai rien inventé du tout. Je
viens du photojournalisme. Je suis photographe de réel, moi.
- Qu'est-ce qui différencie la France provinciale et Paris et des grandes villes ?
- Comment les gens réagissent quand ils voient les photos de Depardon ?
- Que leur répondit-il ?
J’ai fait ça avec une chambre. Je
me suis donné les moyens pour que cette photo ne soit pas une petite photo mais
une photo avec tous les détails, avec les précisions.
- Avec quel type d'appareil a-t-il pris ses photos ?
- Quel genre de photos voulait-il prendre ?
J’étais un peu pessimiste
au début. J’étais accablé même, déprimé parce que je me disais :
« C’est, mon dieu, que comme ça tu quittes les villes comme ça qui sont
apparemment rassurantes. Et c’est vrai que quand tu rentres dans ces campagnes,
ces petites villes qui le sont beaucoup moins et surtout hors-saison comme ça,
c’est assez impressionnant. »
- Quel a été son sentiment au départ quand il a commencé son reportage ?
- Pourquoi ?
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