À l’assaut du
phare de Kerbel, dans le sud de la Bretagne. Dans l’escalier, l’ancien
propriétaire, suivi du nouveau. Le phare était transformé en gîte il y a douze
ans, une métamorphose ingénieuse.
1. Où se situe le phare de Kerbel ?
2. Quand le phare a-t-il été transformé en gîte ?
3. Donnez un synonyme du mot « métamorphose » ?
« Le
principe, c’est de pouvoir disposer d’un studio qui fasse une vingtaine de
mètres carrés. Il fallait bloquer l’arrivée d’escalier. Donc, on a un plancher
qui descend. Il y a une trappe de secours quand même. Si vous n’avez plus
d’électricité, on peut quand même toujours descendre. »
« On va
découvrir la belle vue. »
4. Pourquoi la transformation du phare en gîte est « ingénieuse » ?
5. Quelle est la taille du studio ?
6. Pourquoi y a-t-il une trappe de secours ?
À 25 mètres de
hauteur, le panorama est à 360 degrés. Une petite coursive permet d’en faire le
tour.
« C’est
extrèmement robuste. Vous n’avez pas de souci. Vous avez à la fois la vue sur
l’océan et sur la rade de Lorient. »
7. Quelle est la hauteur du phare ?
8. Que voit-on quand on fait le tour du phare sur la coursive ?
Nouvelle vie
pour un phare centenaire. Mise en service en 1913, le phare de Kerbel est
célèbre pour avoir été l’un des rares phares à avoir été géré par une
femme : Honorine Leguen. Pendant 47 ans, elle a bichoné la lampe qui
guidait les bateaux.
« Ça, ça
ne plaît pas beaucoup par exemple. Quand je voyais mon astiquage avant qui
était comme de l’argent... C’était beaucoup plus beau. »
9. Quel âge a ce phare ?
10. Pourquoi ce phare est exceptionnel ?
11. Combien de temps Honorine Leguen s’est occupé de ce phare ?
12. Pourquoi n’est-elle pas contente quand elle remonte dans le phare ?
